#Francis Marmande
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ferrolano-blog · 2 years ago
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Defensa del proteccionismo
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jbgravereaux · 4 years ago
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Brad Mehldau - La Mémoire et la Mer (Léo Ferré)
                                                                                                                                Francis Marmande, Le Monde : D'un récital de Brad Mehldau (petite quarantaine aux airs adolescents), on guette toujours deux traits : la main gauche et le répertoire. Pour le reste, classe, toucher, émotion, intégrité, tout est depuis longtemps dit, lu et approuvé. On sait qu'il aime reprendre des chansons de Pink Floyd ou de Radiohead, des thèmes de The Verve ou de Thelonious Monk.                                                                                                                                                                                                                             Mais d'un pianiste en solo, on guette toujours la première main. Celle qui brise le silence. La gauche, en l'occurrence. Main gauche que Brad Mehldau traite en ambidextre, quand il ne la suspend pas, d'un geste qui surprend, devant son visage.                                                                                                                                                                                                                                             Soudain, il se lance dans La Mémoire et la mer, de Léo Ferré. Même crève-coeur, même emphase, toucher plus subtil que le grand Léo. Il attaque par les trilles de la main droite et confie la mélodie à la gauche. Où l'on entend distinctement cette main murmurer de mémoire “mes désirs dès lors ne sont plus / qu'un chagrin de ma solitude”.                                                                                                                         http://www.lemonde.fr/culture/article/2011/09/09/la-main-gauche-de-brad-mehldau_1569949_3246.html
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ozkar-krapo · 7 years ago
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Jac BERROCAL “La Nuit est au courant” (LP. Souffle Continu rcds. 2017 / rec. 1989-90) [FR]
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merzbow-derek · 7 years ago
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POST-SCRIPTUM 804
JAC BERROCAL, La Nuit est au courant, SouffleContinu Records
"Lonely Woman" d'Ornette Coleman à la radio, les motets de la Renaissance, le grand-père dans une fanfare de zouaves, les déserts de Syrie… Les chenilles des blindés sur l'asphalte, la bande-son d'Un Condamné à mort s'est échappé de Robert Bresson, le bolide de Juan Manuel Fangio, la chute du Mur de Berlin : depuis l'inaugural et génial Musiq Musik, la trompette de Jac Berrocal vient de là – d'un indicible cataclysme auquel il ne cesse de retourner et se nourrir.
Quand au début des années 1990 sort La Nuit est au courant, Jac Berrocal a déjà enregistré le fameux "Rock'n'Roll Station" et collaboré à trois reprises avec Nurse With Wound, dont la liste de 1979 le cite comme influence majeure en matière d'avant-garde. In Situ, le label français hébergeant ce disque, compte la même année quelques galettes d'importance historique signées Steve Lacy, François Tusques, Un Drame Musical Instantané et Daunik Lazro en duo avec Joe McPhee : toute une époque !
Épaulé par deux bassistes (dont le critique de jazz Francis Marmande) et un batteur (Jacques Thollot à qui l'on doit avec Jeter la girafe à la mer l'un des sommets de l'underground français), Jac Berrocal s'adonne à ce qu'il fait le mieux : défier les étiquettes en slalomant entre les genres ; échafauder un étrange kaléidoscope en forme d'envoûtant bric-à-brac. « Ce qui est vulgaire dit-il, c'est de bouder son plaisir. » Jac Berrocal ne se prive de rien, et tente tout ce qui lui passe par la tête.
Avec leur trompette çà et là démultipliée par la réverb', les déambulation pour noctambules insomniaques de La Nuit est au courant en font un disque d'ambiance dont Prague, Sartrouville, Ivry-sur-Seine ou Berlin Est constituent quelques-uns des arrêts… Un disque de ce que Fernando Arrabal nomme « musique panique » – manière élégante et poétique de dire « no wave »… Au fil des écoutes, l'on jurerait entendre Don Cherry jammer avec David Bowie et Brian Eno dans Berlin.
Sachez-le : Jac Berrocal est un brave. Il s'expose – et « s'éclabousse l'âme », au bord du gouffre. Multiple, la nuit est au courant.
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Ornette Coleman's "Lonely Woman" on the radio, Renaissance motets, his grandfather in a Zouave military band, Syrian deserts... Columns of tanks in the streets, the soundtrack to Robert Bresson's A Man Escaped (1956), Juan Manuel Fangio's car, the fall of the Berlin wall: from the first and fantastic Musiq Musik (1973), this is where Jac Berrocal's trumpet comes from -- an indescribable cataclysm to which he constantly returns for inspiration.
When he published, at the beginning of the 1990s, La Nuit est au courant, Jac Berrocal had already recorded his famous "Rock'n'Roll Station" and collaborated three times with Nurse With Wound, he figures on their 1979 list as an important avant-garde influence. In Situ, the French label which published this album, produced several other historically important albums in the same year by people like Steve Lacy, François Tusques,Un Drame Musical Instantané, and Daunik Lazro in a duo with Joe McPhee: such were the times.
Backed by two bassists (including the jazz critic Francis Marmande) and a drummer, Jacques Thollot (who recorded Jeter la girafe à la mer (1971), one of the highlights of the French underground), Jac Berrocal does here what he does best: defy labels and slalom between genres; constructing a strange kaleidoscope of enchanting mish-mash. "What is vulgar... ", he states, "... is to refuse what pleases you". Jac Berrocal refuses nothing and tries everything he can imagine.
With the trumpet multiplied here and there by reverb, the nocturnal perambulations for insomniacs of La Nuit est au Courant make it an ambient album with Prague, Sartrouville, Ivry-sur-Seine or East Berlin amongst the backdrops... An album of what Fernando Arrabal called "panic music", an elegant term for "no wave"... Listening to it over and again, it sounds like Don Cherry jamming with David Bowie and Brian Eno in Berlin.
There is one thing you should know: Jac Berrocal is an intrepid man. He stands exposed -- and "sullies his soul", on the edge of the precipice. The nights are all-knowing.
( Jac Berrocal, par là, by there )
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ribelluliberta · 6 years ago
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mes amis nous avons la possibilité de bloquer les Elections Européenne tous en respectant la loi et obliger car ils ne pourrons faire autrement  de reporté par décret cette élection et Obliger Manu 1er et Edouard Philippe à négociez alors écouté cette vidéo et j'espère être entendu, car il en est de nôtre  responsabilité; Quelle France allons nous laissez a nos enfants et petit enfants
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already-14 · 2 years ago
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On pourrait en douter aujourd’hui : à sa mort, en 1962, Georges Bataille reste quasiment inconnu. Quelques dates marqueront sa reconnaissance posthume. On le sait de la décade de Cerisy, en 1973, « Artaud / Bataille, pour une révolution culturelle » [9]. On le sait des deux numéros de la revue L’Arc (fin des années 1960 — début des années 1970). On le sait moins du numéro que la revue Critique a publié dès l’été 1963, soit un an après sa mort, « Hommage à Georges Bataille », que de « plus bruyants », comme dit Francis Marmande, auraient « hissé à hauteur de manifeste ».
C’est dès ce numéro, en effet, que sont mesurées l’ampleur et la diversité de l’apport de Georges Bataille à la littérature et à la pensée. Ce qui n’allait pas de soi : la publication des Oeuvres complètes (12 vol.) ne commencerait que dix ans plus tard, lesquelles porteront enfin au jour un continent inconnu de tous — tant d’écrits oubliés ou inédits ; pas loin sans doute du tiers des textes qu’elles réunissent.
Les contributeurs de ce numéro de Critique ne les ont pas attendues pour en attester déjà. Des écrivains : Raymond Queneau, Michel Leiris, Philippe Sollers ; des écrivains-philosophes : Roland Barthes, Maurice Blanchot, Pierre Klossowski ; des philosophes : Michel Foucault, Jean Wahl ; un ethnologue : Alfred Métraux. À peu près tous les domaines dans lesquels Georges Bataille s’est illustré y sont repr��sentés. On peut tenir ce numéro pour constitutif de la postérité de Bataille ; il l’a déployée et articulée. Tout ce qui s’est écrit depuis cinquante ans que Bataille est mort lui doit plus ou moins.
La contribution de Michel Foucault à ce numéro emblématique de Critique sera décisive : Foucault est certes loin d’avoir encore l’aura des autres contributeurs (ayant alors encore peu de livres à son actif, sinon Histoire de la folie à l’âge classique) ; pour autant, la jeune génération de la philosophie ne pourra pas ignorer que Bataille est aussi un philosophe, et pas seulement un écrivain, comme on sera encore trop longtemps enclin à le penser. Un philosophe d’une étrange sorte, soit ; parmi les plus considérables cependant. On peut le dire aussi simplement : l’analyse élogieuse de Michel Foucault vient corriger celle, stigmatisante, énoncée par Jean-Paul Sartre en 1943, soit 20 ans plus tôt.
(via Hommage à Georges Bataille - Philippe Sollers/Pileface)
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whileiamdying · 5 years ago
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Sans nostalgie, une évocation ardente de Miles Davis
Le festival Jazz à Juan a consacré sa soirée du vendredi 15 juillet à un hommage au trompettiste, mort en 1991.
Par Francis Marmande   Publié le 16 juillet 2011 à 14h25 Mis à jour le 16 juillet 2011 à 14h25
Parfois on aimerait faire un petit tour en tricycle à l'intérieur du crâne du saxophoniste Wayne Shorter, 78 ans. Juste pour voir. Compter les synapses, les neurones, les rotations discrètes. Entendre sa jeunesse, sa poésie. Ou alors, descendre en luge le système nerveux central du batteur Aloysius Foster. A Al Foster, Miles Davis disait avec ce côté guindé qu'on aimait chez lui : "Mais putain, Al, comment tu t'y prends pour jamais varier le tempo d'un poil de cul ?
- Ne cherche pas, Miles, rétorquait Al Foster. J'ai tout essayé, ch'ais pas faire autrement."
De la soirée du festival Jazz à Juan consacrée, vendredi 15 juillet, au trompettiste Miles Davis (1925-1991), on pouvait tout redouter : l'excellence ou la célébration. Or, malgré le plateau - première partie des frères Roney consacrée à l'album culte, Bitches Brew (1971), deuxième séquence intitulée "Tribute to Miles Davis" -, malgré l'affluence d'historiques (Bennie Maupin, clarinette basse, Al Foster, batterie, Buster Williams, contrebasse), malgré les quotas de revenants, de nouveaux venus et de légendes vivantes cornaqués par Marcus Miller (basses tout-terrain), malgré la détestable passion qui sévit, pour la nostalgie, le pire était possible. Le pire ? La qualité, le bon goût, l'évocation pieuse.
Or, on sort d'une soirée historique. Affluence surprenante. Tout mort qu'il semble, personne n'ose tricher avec Miles Davis. La deuxième séquence, truffée de monuments revisités de fond en comble (Walkin, Milestones) déclenche un de ces orages du bonheur dont on ne croit plus le jazz capable. Fraîcheur, présence, arrangements dérangeants, Marcus Miller ne lésine pas. Il fut le Lagerfeld de Miles. Il offre une place folle à ses aînés de génie, Herbie Hancock (claviers) et Wayne Shorter. Sans compter qu'il aura déniché deux inattendus : le trompettiste Sean Jones, de l'Ohio, et Sean Rickman, de Washington, batteur à rendre Al Foster trop triste de ne pas tenir sa place.
La musique de Miles Davis révèle a posteriori son intelligence, sa dynamique, plus pas mal de prophéties qu'en temps réel tant d'esprits sérieux auront ratées (1981- 1991). Cette dernière période de Miles fut aussi aimée que décriée - "populiste, simpliste, rock, facile, élitiste", tout était bon. Ses interprètes du 15 juillet à Juan la prennent au pied de la lettre. Il leur eût été facile d'aligner des thèmes, un poil d'esbroufe, et bonsoir. Non, ils jouent comme s'ils avaient retrouvé le flacon des essences, l'ardeur.
Fondé en 1960, Jazz à Juan, le plus mythique des festivals européens, organisé par la ville d'Antibes, a traversé comme une flèche son cinquantième anniversaire, en 2010 : augmentation de fréquentation, des préventes sur Internet, de la renommée. Philippe Baute, directeur administratif, et Jean-René Palacio, directeur artistique, à l'unisson : "On n'a rien créé, on n'a fait qu'ancrer." Dix soirées à climat garanti. Le programme semblerait-il un tantinet prévisible ? Mais on l'a toujours dit de Jazz à Juan : " Le malheur et la chance, pour un directeur artistique, c'est ce navire de trois mille places. Notre objectif, faire une grosse fête, montrer que le jazz se porte bien, tenir ce pari : ces cinquante ans de jazz doivent préparer les cinquante à venir. Le "off" est la base du futur."
Le "off", plus le concours des Révélations. Jeudi 14 juillet, quatre finalistes se partagent un talent vérifiable et les tics du milieu (ils ont tous un CD à vendre). Roberto Negro Trio, Alex Stuart Quartet (Prix du jury), Gregory Ott Trio, Di Costanzo Trio (Prix du public). A l'heure où même le jury de l'ENA "déplore le formatage et le conformisme des candidats", on ne va pas se mêler de chipoter. On devine le tremblement glacial, induit par le fait de monter sur la scène de la pinède le 14, et d'entendre, le lendemain, les pointures du "Tribute to Miles".
L'inconscient tambourinant toujours trop fort, Jazz à Juan a démarré sur des roulements indignes de sa scène. Neposedy, troupe d'enfants russes endimanchées, ravissantes comme des petits rats dans les loges de l'Opéra à la fin du XIXe siècle, aura rappelé, s'il en était besoin, à quel point l'esprit soviétique est anéanti, et l'âme russe en quenouille. Leur prestation, plus insultante au "jazz" que minable, renvoie l'Eurovision à un show réglé par Pina Bausch, et la Star Ac'par la Scala. Espérons qu'il ne s'agit que d'une affaire de fric.
Nice et Antibes se disputent aujourd'hui la palme du festival "populaire". Entendez, car les deux manifestations s'entendent sur le concept, "populaire", par opposition à "élitiste". Eh bien, l'inconscient reprenant le dessus, on déclarera Neposedy désastreusement "populaire" là où le "Tribute to Miles" reste populairement "élitiste". Seule sincérité de la musique.
Festival Jazz à Juan, Pinède Gould. Jusqu'au 24 juillet. Avec Keith Jarrett, B.B. King, Jamie Cullum, Raphael Saadiq,
Gilberto Gil, Manu Katché... De 7 € à 77 €. Jazzajuan.com
Francis Marmande
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riffsstrides · 8 years ago
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Bojan Z x Julien Lourau
2birds1stone, 2015
Bojan Z, piano, fender rhodes
Julien Lourau, sax tenor
L’art du duo, c’est cette révélation. On pourrait aligner, à commencer par Duke Ellington et son jeune contrebassiste Jimmy Blanton en 1940, et bien avant sans doute, les duos qui jalonnent l’histoire du jazz. Exercice de la mise en jeu totale à deux. Depuis 1989, Bojan Z et Julien Lourau se retrouvent à l’amiable, enregistrent, inventent et approfondissent, sans en faire méthode, leur histoire d’amitié philosophe.
Depuis 1989, chacun a sa carrière de catégorie : des prix remarqués, des groupes détonants (Transpacifik de Bojan Z, le Julien Lourau Groove Gang), etc. Ce mardi soir de juin 1989, ils croisent le fer pour la première fois. Expression aussi contraire que possible à ce qu’elle désigne : ils jouent ensemble. Double jeu, extrême attention à l’autre, relance, alternance, effacement, service soigné, traque de l’inattendu, ascension dans les grands gouffres, ils mettent leur science au service du non–savoir. Et leur passion de l’histoire des musiques, à la merci de leur partition instantanée. Tel est l’art du duo.
Ce n’est en rien cette soif de rivalité à quoi, faute d’oreille et de regard porté à la scène, on rabaisse le « jazz ». C’en est l’exact contraire : l’émulation, l’amitié, la présence, le jeu pour le jeu. N’importe quel amateur vous le dira : jouer avec meilleur que soi, jouer avec l’autre, augmente votre propre jeu. Vous voyez sous vos doigts passer des traits que vous ne savez pas exécuter.
Francis Marmande in lemonde.fr
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reflections-in-t · 2 years ago
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. . “An artist who plays what he has never played, that no one has dared to play, and none will ever play again.” . 「一度も演奏したことのないもの、誰も演奏しようとしなかったもの、そして二度と演奏することのないものを演奏するアーティスト」 . これはFrancis MarmandeがLe Monde誌上にソロ・ピアノプレイヤーとしてのキース・ジャレットを要約し説明するために記した一文 . 「ブダペスト・コンサート」の3日後、「ミュンヘン2016」の10日前に行われた欧州ツアー最後のフランス・ソロ公演を収めたアルバム『Bordeaux Concert』が昨夜ついにフル配信 . 明け方まで何度も聴き返し、今朝目覚めてからも浸り続けているのだけれど、ここ数年、ECMのアーカイブスから日の目をみた何作かのソロアルバムとは比較にならないほどの出来で、ほんとうに素晴しくてこころが洗われる . とくに泣きたい人向き(笑)のIII→VII→VI→IX→X…という曲順で聴くとこれまでになかったまったく新しい感動が得られることうけあい . そして少なくともここで聴くことの出来る13曲はキース・ジャレット自身によって“二度と演奏されることのないもの”ばかりなのだから、かけがえがない . とにもかくにも秋の夜長、71分間のこの切なくも美しい音楽に身をゆだねてみることを強くお薦めしたいところ . . . #KeithJarrett #BordeauxConcert #Live #6July2016 #AppleMusic . . https://www.instagram.com/p/CjHe5c3vFuX/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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drowkins · 8 years ago
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“Comme de très rares villes qu’on ne choisit pas, Bayonne suscite un sentiment passionnel…” Francis Marmande (à Bayonne, France)
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radiocapitole · 5 years ago
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Lot-et-Garonne : Francis a disparu de Gontaud-de-Nogaret
La gendarmerie du Lot-et-Garonne vient de lancé un appel à témoins suite à la disparition inquiétante d’une personne déficiente mentalement.
Après accord de Madame RABAT Stéphanie substitut du procureur de la République près le TGI AGEN, le Capitaine RAOUL officier de permanence de la Cie MARMANDE communique :
➡️LES FAITS : Ce matin, dimanche 22/12/2019 à 08 heures 30, deux pensionnaires…
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jbgravereaux · 5 years ago
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Brad Mehldau - La Mémoire et la Mer (Léo Ferré) - ℗ 2015 Nonesuch Records Inc.                  https://www.youtube.com/watch?v=8YCtPF1aXX0                                                                                                                                                        La main gauche de Brad Mehldau - Le Monde                                                    Brad Mehldau - La Mémoire et la Mer - Les écrits de romo                            Chocs 2015 : 13 disques très regardés - blog de Choc
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ozkar-krapo · 7 years ago
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Jac BERROCAL “La Nuit est au courant” (LP. Souffle Continu rcds. 2017 / rec. 1989-90) [FR]
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merzbow-derek · 8 years ago
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POST-SCRIPTUM 753
AUTANT DE CANCERS QUE DE DÉMÉNAGEMENTS
Chronique par Philippe Renaud du livre Agitation Frite, témoignages de l’underground français dans le dernier numéro d’Improjazz.
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ribelluliberta · 6 years ago
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Priscilia, Eric, Maxime, aux armes citoyen (une armes contre les SS de Castaner)
Priscilila, Eric , Maxime, Jérôme le peuple appelle  au secoure, a l'aide et je vous donne une arme anti-SS ou Sa  de Castaner la Mission  "Roule ta frite" une façon d'immobilisé le lanceur d'eau ou même la brigade qui nous tire en pleine tête SVP partager c est pas pour notre avenir mais pour nos enfants quelle France allons nous leur laissé A voir: https://www.lepoint.fr/politique/ces-... Facebook: https://www.facebook.com/jeanjacques.... TWITTER  ! https://twitter.com/FanchteinJean
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igreyphd · 7 years ago
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WORKS CITED - Alterity
Bataille, Georges. Oeuvres complètes. 12 vols. Paris: Gallimard, 1970-88. [OC]
Borch-Jacobsen, Mikkel. Lacan: The Absolute Master. Stanford: Stanford UP, 1991.
Cano-Gauthier, Mona. “Approche psychanalytique  du processus de création littéraire comme sublimation dans les récits de Georges Bataille.” Diss. Université de Montréal, 1991.
Chapsal, Madeleine. “Georges Bataille.” Les écrivains en personne. Paris: UGE, 1973. 22-33.
Dean, Carolyn J. The Self and Its Pleasures: Bataille, Lacan and the History of the Decentered Subject. Ithaca: Cornell UP, 1992.
Gandon, Francis. Sémiotique et négativité. Paris: Didier Érudition, 1986.
Lacan, Jaques. “Du traitement possible de la psychose.” Écrits. Paris: Seuil, 1966.
Marmande, Francis. Georges Bataille Politique. Lyon: PUL, 1985.
McWhorter, Ladelle. “Is There Sexual Difference in the Work of Georges Bataille?” International Studies in Philosophy 27.1 (1995): 33-41.
Perniola, Mario. Georges Bataille et la pensée de la marginalité. Paris: Méridiens-Anthropos, 1982.
Sichère, Bernard. “L’écriture souveraine de Georges Bataille.” Tel quel 93 (Fall 1982): 58-75.
Suleiman, Susan Rubin. Subversive Intent: Gender, Politics, and the Avant-garde. Cambridge: Harvard UP, 1990.
Suleiman, Susan Rubin, and Susan Sontag. “The Pornographic imagination.” Partisan Review 34.2 (1967): 151-212.
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